Disputer un mini-tournoi qualificatif à domicile était évidemment un avantage, conféré par l’AFC, la confédération asiatique. Et Qatar comme Arabie Saoudite ont su pleinement en profiter.
Accroché par Oman (0-0), les champions d’Asie qatariens ont ensuite dominé les Emiratis (2-1) grâce à des buts de Khoukhi et Miguel. Ils bouclent avec une longueur d’avance sur les Emirats, qui joueront les barrages Asie.
Idem pour les Saoudiens dirigés par Hervé Renard. Vainqueurs 3-2 de l’Indonésie lors de la J1 à Djeddah, ils ont ensuite été tenus en échec par l’Irak (0-0).
Comme cette dernière n’avait battu l’Indonésie que par un maigre scoer (1-0), l’Arabie Saoudite se qualifie au bénéfice du plus grand nombre de buts inscrits (3 contre 1 à l’Irak).

Qatar et Arabie Saoudite rejoignent la Jordanie, qualifiées en juin dernier, parmi les pays du football arabe, ainsi que Maroc, Algérie, Tunisie et Egypte, qui ont validé leurs tickets dans la zone Afrique.
L’Irak rejoint les Emirats pour le barrage aller-retour en zone asiatique, programmé à la mi-novembre. Le vainqueur sera qualifié pour le tournoi intercontinental en mars 2026.
Cette dernière épreuve, qui qualifiera les deux dernières équipes pour la CdM, regroupera au Mexique six formations, dont le représentant asiatique, celui de l’Afrique, la Bolivie, la Nouvelle-Calédonie, et deux représentants d’Amérique centrale (Concacaf).
Il y aura deux demi-finales avec les deux équipes les moins bien classées selon la FIFA et deux finales avec pour chaque rencontre, l’un des deux meilleurs classés.
@Cheikh Mabele